Pilule contraceptive : Attention, danger !

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Régulièrement depuis une vingtaine d’années, le Professeur Henri Joyeux prévient les femmes  des dangers de la pilule contraceptive.

La pilule n’est pas un produit naturel inoffensif, mais un médicament contenant de l’oestrogène et de la progestérone de synthèse ou issues des urines de jument.

La pilule est le plus puissant des perturbateurs endocriniens, aux côtés des phtalates, du bisphénol A et du DDT dans le classement de l’Anses.

Toutes les pilules sont dangereuses (comprimé, patch, bracelet, implants, voie intramusculaire, anneau, stérilet hormonal, voie nasale).

Avec un comprimé,les doses d’hormones ingérées sont 20 à 50 fois plus élevées que celles fabriquées par les ovaires (l’équivalent de 1.000 poulets aux hormones…)

Avec le scandale des pilules de 3ème et 4ème génération, tout un chacun de se pencher à présent sur la question et le gouvernement d’arrêter de les rembourser de peur d’être tenu pour responsable d’éventuelles complications.

 

Effets secondaires courants

  • Perturbation de la libido
  • Dépression immunitaire chronique (avec les oestrogènes)
  • Phénomènes allergiques de toutes natures
  • Candidose (due à la prolifération de Candida albicans sous pilule)
  • Accidents vasculaires cérébraux
  • Anxiété, insomnie, panique, difficultés de concentration
  • Troubles cutanés (peau grasse, acné,…)
  • Acné, hirsutisme, alopécie par plaques (perte de cheveux)
  • Tensions mammaires, maux de tête, céphalées
  • Hypercholestérolémie
  • Hypertension artérielle
  • Complications cardio-vasculaires
  • Thrombo-embolies
  • Atteintes de la vésicule biliaire
  • Rétention d’eau, prise de poids
  • Tumeurs bénignes du sein, du foie
  • Kyste des ovaires
  • Cancer des ovaires
  • Cancer du sein (11.500 décès en 2011)
  • Cancer du col de l’utérus (plus de 1.000 décès par an)
  • Facilitation des Maladies ou Infections sexuellement transmissibles

Mais aussi…

  • Dépression, troubles du comportement, autisme de l’enfant
  • Aggravation du stress oxydant et accroissement des maladies dites de civilisation (asthme, sclérose en plaques,…)

 

Petit historique

  • Années 1960 : Pilules de 1ère génération, contenant de fortes doses d’oestrogène (risque de gonflement des seins, nausées, migraines, troubles vasculaires, pilosité, acné)
  • 1968 : un article dans Science et Vie « La pilule, les généticiens s’inquiètent… »
  • 1975 : un constat, 7.000 nouveaux cas par an de cancer du sein
  • Années 1970,1980 : Pilules de 2ème génération, contenant des progestatifs permettant de diminuer les doses d’oestrogène (risque de thrombose veineuse, phlébite ou embolie pulmonaire, pilosité, acné)
  • 1988 : François Xavier de Guibert traduit et publie le livre de Ellen Grant « Amère pilule », gynécologue ayant travaillé à la conception de la pillule, dans lequel elle signale les dangers vasculaires, de phlébite, d’accidents vasculaires cérébraux, d’infarctus, de cancers du sein, de l’utérus, du col et du corps utérin (preuves scientifiques et références à l’appui).
  • Années 1990 : Pilules de 3ème génération contenant 3 progestatifs, le désogestrel, le gestodène et le norgestimate (risque d’accident thrombo-embolique 2 fois plus élevé que les pilules de 2ème génération)
  • 1995 : les autorités sanitaires Britanniques appellent les femmes à la plus grande prudence, en France l’Agence du médicament rassure et tout continue comme avant. Dans le même temps, l’Agence internationale de la recherche sur le cancer (IARC) et l’Institut national de la lutte contre le cancer aux Etats-Unis déclarent ces médicaments cancérigènes chez l’homme
  • 1998 : le Centre international de recherche sur le cancer, dépendant de l’OMS, classe les contraceptifs hormonaux et les hormones du THS comme « cancérigène de classe I, ceux dont l’action est certaine »
  • Années 2000 : Pilules de 4ème génération (mêmes risques que les pilules de 3ème génération)
  • 15 janvier 2002 : un rapport dans les bulletins électroniques Canada 191 indique « Les femmes sous contraceptif oral rejettent suffisamment d’hormones dans leur urine pour modifier le sexe de certains poissons »
  • 2011 : 4,27 millions de Françaises utilisent une pilule contraceptive selon un rapport de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé
  • 2013 : 60.000 nouveaux cas de cancer du sein, chez des femmes de plus en plus jeunes, 2500 « accidents », une vingtaine de décès « prématurés »
  • 31 mars 2013 : la pilule cancérigène et toxique est remboursée à 100% aux mineures de 15 à 18 ans

 

Efficacité de la pilule

8% des femmes prenant quotidiennement la pilule pendant un an ont une grossesse non-intentionnelle (rapport de l’OMS publié en 2011 aux Etats-Unis)… 8%, un taux d’échec énorme pour un médicament !

 

Autres méthodes contraceptives

  • le dispositif intra-utérin (stérilet au cuivre)
  • le diaphragme
  • la cape cervicale
  • les préservatifs
  • l’étude du cycle féminin (il existe sur le marché des mini-ordinateurs de cycle avec un réveil et un thermomètre incorporés, simples à utiliser)

 

VéroV

Pilule contraceptive: danger !

Sources : « La pilule contraceptive » Professeur Henri Joyeux et Dominique Vialard (Editions Rocher), Le blog de Julien Venesson (Thierry Souccar Editions) et le Magazine de santé Alternatif Bien-Etre

Mise en garde : Un avis médical est indispensable avant l’application d’un traitement naturel. Seul votre médecin connait vos antécédents médicaux et les interactions que certaines plantes pourraient avoir avec votre traitement. De plus, je ne saurai être tenu responsable d’une mauvaise utilisation des plantes ou produits que j’aurais conseillés.

  1. sabrina

    Bonsoir,

    je m’interroge beaucoup sur les moyens contraceptifs et plus particulièrement sur la pillule progestative.
    D’après ce que m’explique mon médecin et cela me semble logique, c’est surtout les œstrogènes qui seraient néfastes et non les progestérones.
    Quel est votre avis?
    Aussi vous citez d’autres moyens contraceptifs mais pour le diaphragme et la cape cervical elles contiennent toutes 2 des hormones.
    Il est vrai que l’on a très peu de choix.

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