La grande question
Pourquoi des enfants non vaccinés représenteraient-ils une menace pour des enfants vaccinés si les vaccins étaient si efficaces que cela ? Je me pose cette question depuis cette première fois où une institutrice, en petite section de maternelle, m’a demandé une photocopie du carnet de vaccination de mon fils pour pouvoir l’inscrire à l’école.
A l’origine de la vaccination, un génie : Pasteur
Bon d’accord, je sors… Car ce monsieur était tout sauf un génie. Ni médecin, ni biologiste, juste un mauvais « agrégé-préparateur de chimie ». Cependant, aussi peu doué qu’il fut, son ego démesuré lui faisait briguer la Légion d’Honneur. Je ne suis pas gentille ? Ben tant pis ! Pour moi, ce monsieur n’est qu’un irresponsable qui a affaibli des générations d’humains.
Comment cela ?
Gardons à l’esprit deux choses. Tout d’abord, Pasteur était malade. Il souffrait de paranoïa (il a fini par voir des microbes absolument partout). Ensuite, il rêvait de se voir remettre la Légion d’Honneur et peu lui importait le moyen d’y parvenir.
La vérité
Pasteur, au départ, ne croyait même pas à l’existence de micro-organismes. Il pensait que : « L’être humain, créature de Dieu est pure et sans souillure, la maladie ne peut donc être provoquée que par une faiblesse constitutionnelle« . C’est Antoine Béchamp (docteur en sciences, en médecine, en chimie, diplômé en pharmacie) qui les a découverts en étudiant la maladie des vers à soie et les a baptisés microzimas, puis François Sédillot (chirurgien) qui les a rebaptisés microbes.
Ce n’est qu’à la vue des résultats obtenus par Antoine Béchamp que Pasteur annonça que la maladie était provoquée par des évènements extérieurs.
Bien simple. Pasteur s’est alors attribué les travaux de Béchamp (pour ne pas dire qu’il les a carrément volés hein, restons politiquement corrects) et la seule découverte que nous devons réellement à Pasteur est… la serviette jetable (logique pour quelqu’un qui était obnubilé par l’infiniment petit et merci pour l’environnement !!).
Pour le reste, la vie de Pasteur est sur ce même schéma, tissée de mensonges plus ou moins grossiers (il aurait fallu un microscope électronique qui n’existait pas encore pour qu’il puisse voir le virus de la rage…), brossant ses pairs dans le sens du poil et collant aux croyances de l’époque.
Les épidémies
La peste fait des centaines de milliers de victime au Moyen-Age puis disparait… Sans que personne n’ait été vacciné.
La variole disparait à son tour… Et l’OMS recommande la destruction des souches restantes dans les laboratoires en 1980 (eh oui… l’OMS dit d’arrêter de vacciner contre la variole de peur de relancer la maladie !)
Le tétanos, la rage, la poliomyélite sont des maladies sans immunité (les toxi-infections ne passent pas par la voie sanguine).
La rougeole, les oreillons et la rubéole « servent à la maturation du système immunitaire de l’enfant pour en faire un adulte en bonne santé. Avec le ROR on a créé des souches mutantes de la rougeole et des adultes qui l’avaient eue enfants, l’attrapent sous une forme “aggravée” au contact de leurs enfants vaccinés. »
Les vaccins
Un vaccin est un médicament, dangereux et toxique. A savoir qu’en France, les médicaments tuent chaque année 20 000 personnes (à méditer…).
Un vaccin, c’est :
du formaldéhyde (cancérogène), des sels de mercure (neurotoxique), une partie plus ou moins atténuée d’un virus ou d’une bactérie, des éléments de manipulations génétiques comme les ARN ou ADN double brin, des traces protéiques du milieu de culture (pour un peu qu’il ait été souillé, on a tout bon), de l’hydroxyde d’aluminium (toxique capable de traverser la barrière hémato-encéphalique… Ah ben ça alors, on en retrouve dans tous les cerveaux autopsiés des malades morts de la maladie d’Alzheimer).
Et les risques ?
Le système immunitaire d’un bébé n’est mature qu’entre 18 et 24 mois…. Et encore, il se construit jour après jour jusqu’aux 7 ans de l’enfant. Comment peut-on demander à un système immunitaire qui n’en est pas capable de se mettre au travail ? C’est une aberration !
Qu’en est-il du calendrier vaccinal aujourd’hui ?
Naissance : injection du BCG.
A 2 mois : injection de la diphtérie, du tétanos, de la poliomyélite, de la coqueluche, de l’hépatite B, du pneumocoque, du HiB.
A 3 mois : injection de la diphtérie, du tétanos, de la poliomyélite, de la coqueluche, de l’hépatite B, du HiB.
A 4 mois : injection de la diphtérie, du tétanos, de la poliomyélite, de la coqueluche, de l’hépatite B, du pneumocoque, du HiB.
A 12 mois : injection du pneumocoque, du méningocoque de type C, de la rougeole, des oreillons et de la rubéole.
A 16/18 mois : injection de la diphtérie, du tétanos, de la poliomyélite, de la coqueluche, de l’hépatite B, du HiB, du méningocoque de type C, de la rougeole, des oreillons et de la rubéole.
A 24 mois : injection du méningocoque de type C, de la rougeole, des oreillons et de la rubéole.
A 6 ans : injection de la diphtérie, du tétanos, de la poliomyélite.
A 11/13 ans : injection de la diphtérie, du tétanos, de la poliomyélite, de la coqueluche.
A 14 ans : injection du papillomavirus humain.
A 16/18 ans : injection de la diphtérie, de tétanos, de la poliomyélite.
A 26/28 ans : injection de la diphtérie, du tétanos, de la poliomyélite, de la coqueluche.
A 36/64 ans : injection de la diphtérie, du tétanos, de la poliomyélite.
A partir de 65 ans : injection de la diphtérie, du tétanos, de la poliomyélite, de la grippe (fortement recommandé tous les ans).
Le système immunitaire des anciens
Cependant, il en est de même des personnes âgées dont les défenses immunitaires deviennent moins efficaces, ce qui les fragilise. Mais, c’est marrant, ce sont elles les premières vaccinées avec un vaccin dont on sait qu’il ne vaut rien (puisque le virus de la grippe subit plusieurs mutations entre sa forme asiatique et sa forme européenne).
Sans oublier que…
Chaque vaccin montre ses propres effets secondaires prouvés : cas d’autismes (pour le ROR), de scléroses en plaque (pour l’hépatite B), de cancers du col de l’utérus (pour le papillomavirus humain)…
Quand la science rejoint la naturopathie
Claude Bernard a dit à l’époque : “ Béchamp a raison, le microbe n’est rien, c’est le terrain qui est tout, Pasteur est fou !” Parce que nous sommes tous différemment programmés par notre ADN pour être plus sensibles à un virus qu’à un autre, que certains tomberont malades et d’autres pas… Que le terrain est aussi celui que l’on cultive et que prendre soin de soi permet de tenir la maladie à distance ou pour le moins d’aider l’organisme à se régénérer plus vite. Administrer un vaccin à quelqu’un qui est en bonne santé, c’est en faire un malade.
Conclusion
Je laisse le mot de la fin à Madame Isabelle Adjani qui s’est exprimée sur la question de la vaccination dans la vidéo YouTube ci-dessous et vous donnera quelques références de livres (que je vous recommande vivement).
Prenez soin de vous et portez-vous bien !
VéroV
Sources :
https://penserlibrement.webnode.fr/sante/louis-pasteur-et-le-mensonge/
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